Ces dernières concentrent et vont au-delà de toutes les problématiques rencontrées par la photographie, l’art vidéo ou la performance, d’où leur présence rare dans les collections publiques et privées. Cependant, quelques institutions ont fait le choix de collectionner ces œuvres instables. Comment travaillent-elles ces spécificités ? Quel dialogue entretiennent-elles à ce sujet avec les artistes ? Et par extension, comment les artistes conçoivent-ils la pérennité de leurs œuvres ? Telles sont les questions qui seront ici abordées. 

Seront invités à participer Cécile Babiole (artiste -France), Morgane Stricot et Valentin Vlaminck (ZKM – Allemagne), Claudia Roeck et Tim Marti (H3K –Suisse), Sophie Monesi et Valérie Perrin (Espace multimédia Gantner – France). 

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